CHRONIQUE #141 | Draconis : Etincelles

𝓖𝑒𝓃𝓇𝑒 : Artbook

𝓣𝒾𝓉𝓇𝑒 : Draconis : Etincelles

𝓐𝓊𝓉𝑒𝓊𝓇 : Chane Art

𝓔𝒹𝒾𝓉𝒾𝑜𝓃 𝑒𝓉 𝓟𝒶𝓇𝓊𝓉𝒾𝑜𝓃 : Autoédition (2020)

𝓝𝑜𝓂𝒷𝓇𝑒 𝒹𝑒 𝓅𝒶𝑔𝑒𝓈 : 576 pages

ℛ𝑒́𝓈𝓊𝓂𝑒́ : Un artbook aux illustrations colorées, plus de 140 pages fantastiques et oniriques. Êtes-vous prêt à voyager ? Draconis : Étincelles est à la fois un bestiaire et un recueil de légendes. Avec Edith, partez en quête des cinq étincelles de Magie, rencontrez les dragons légendaires, plongez au cœur d’un univers fantastique et onirique riche de plus de 100 illustrations !

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𝚂𝙴𝚁𝚅𝙸𝙲𝙴 𝙿𝚁𝙴𝚂𝚂𝙴

Un artbook sublime peuplé de dragons tous plus beaux les uns que les autres, avec des dorures qui en font une pure oeuvre d’art !

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J‘ai eu la chance et le privilège incroyable de recevoir cet ouvrage en service presse, alors qu’il était proposé auparavant sur une campagne Ulule. Merci donc à ceux qui ont contribué à faire imprimer cette sublime oeuvre, toujours disponible sur le lien plus haut ! Quand je l’ai reçu, j’avais des coeurs dans les yeux ! J’ai eu le droit à un autographe, et quelques stickers holographiques très cool ! Si j’avais participé à la campagne, j’aurais pu avoir le magnifique pins et une grande illustration, entre autres, mais rien qu’avoir l’ouvrage me remplit de joie. Je pourrais vous parler en long et en large de la forme de l’artbook. IL Y A DES DORURES PARTOUT. Et vous savez à quel point j’en suis fan. Sur la tranche, sur la couverture, dans les pages… C’est vraiment beau. La couverture est plastifiée par endroit, avec un peu de relief notamment sur le dragon et les jeux de lumière sont impressionnants. Pour finir sur la pure et simple beauté physique, l’intérieur est jalonné de petites dorures sur les initiales des dragons, par-ci, par-là, en faisant un ouvrage avec des détails fignolés jusqu’au bout, vraiment qualitatif et valant son prix.

© Chane Art

Passons maintenant au contenu. Je sais qu’il y a eu un ouvrage précédent appelé Draconis. Celui-ci fait 140 pages et apparait à la fois comme un artbook sur les dragons, comme un carnet de voyage et comme un recueil de légendes. Pour être sincère, je mettrais 19 si je donnais une note à cause de certaines interrogations qui ont été les miennes mais il est si beau que c’est un coup de coeur. En effet, on visite le monde de Dreankë, un univers de fantasy, visiblement parallèle au notre ? J’avoue que le contexte n’a pas été très clair pour moi mais ce n’est pas l’important car l’on suit le voyage d’Edith, une femme qui va répertorier tous les dragons qu’elle va croiser, qui ils sont, les légendes qui les entourent, et nous donner accès à ses pensées. Elle trouve un bébé dragon, Lugryn, qui va devenir son partenaire de voyage et qu’elle va voir évoluer au rythme de leurs découvertes sur la magie enfouie qui entoure cette contrée. Il y a ainsi des dragons plus ou moins différents, certains plus petits qu’un champignon et d’autres pouvant écraser une ville. J’ai adoré qu’on sache quelle taille ils faisaient par rapport à l’homme grâce à une signalétique, cela permet de mieux se les représenter.

© Chane Art

Si j’ai trouvé que les visages des dragons se ressemblaient tous un peu, ils sont différents grâce à leurs couleurs choisies avec minutie, dessinés et imaginés avec un soin particulier. Je suis impressionnée par ce travail, et ce sur 140 pages, ce qui est assez complet pour un artbook, je trouve. D’ailleurs, il y a un vrai soin apporté à ce qui entoure les dragons, ce qui en fait plus un genre de bestiaire pour moi qu’un artbook. Chaque dragon a une histoire, des caractéristiques, une vie propre, on en apprend sur la contrée dont il est question, avec une magie disparue. On s’attache également à Edith qui se questionne beaucoup et n’hésite pas à prendre des décisions. On s’émerveille à ses côtés face aux dragons et à Lugryn qu’elle voit changer au contact de la magie. Il devient de plus en plus beau, et j’avoue que je ne m’attendais pas à ce que la fin me marque et m’attriste autant. Je ne l’ai pas forcément comprise, mais le message transmis est doux. Je suis absolument amoureuse des dragons depuis enfant, j’ai même fait mon second mémoire à leur sujet (d’ailleurs, cet ouvrage aurait pu y apparaitre !) et c’est une oeuvre d’art que je vais chérir.

3 commentaires sur « CHRONIQUE #141 | Draconis : Etincelles »

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